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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 10:16
Hier avait lieu une réunion concernant la sécurité publique. Elle était organisée sous l'égide du ministère de l'intérieur avec notamment la Gendarmerie nationale et s'adressait à tous les responsables locaux ayant un lien avec la sécurité publique dont les élus.
Le thème étant intéressant, nous aurions voulu y participer. Malheureusement le maire ne nous a pas transmis l'invitation.

Oubli involontaire ou volonté de nous écarter ?

Pourquoi ne pas transmettre tout simplement une invitation provenant de la Préfecture et adressée à tous les conseillers municipaux ?

Décidément rien ne va plus à la mairie de Mésanger.

Au-delà  de cet "oubli" de nous transmettre cette invitation, nous nous inquiétons, et de nombreux mésangéens avec nous, de cette inertie qui semble avoir toucher la municipalité.
Cela fait plusieurs mois que certaines commissions n'ont pas été réunies.

Il ne semble pas nécessaire que certains dossiers soient soumis aux commissions municipales.

Lors du prochain Conseil, quand il aura lieu, nous poserons la question, mais nous sommes assurés que le maire s'offusquera comme d'habitude.

Nous vous informerons de la suite de cette affaire.
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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 22:31
Dernière information : l'inauguration de l'école publique Tanvet ne se fera pas samedi 25 avril 2009.
Malgré l'annonce faîte par M le Maire au  dernier Conseil municipal, il n'y aura pas d'inauguration. Les élus ont d'autres occupations.

Vous ne pourrez donc pas rencontrer les élus. A moins que demain nous ayons l'information. Tout peut arriver avec la municipalité actuelle.

Toutes les informations sur notre blog en temps réel.

A bientôt.
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 19:55
Lors du dernier Conseil municipal, M le Maire nous a annoncé que le samedi 25 avril aura lieu l'inauguration officielle de l'école publique TANVET.

Venez nombreux visiter les locaux que vous soyez parents d'élèves ou pas. Même si vos enfants fréquentent l'école privée Saint Joseph.

Vous comprendrez pourquoi nous disons que la commune est tournée vers l'avenir. La commune a aujourd'hui une école évolutive, car le préau peut-être transformé en 2 classes.
Cela permet d'accueillir de nouveaux enfants donc de nouveaux habitants.

Profitez de cette occasion pour rencontrer le conseil municipal et surtout M le Maire.

Vous pourrez lui poser toutes les questions sur tous les sujets comme l'augmentation des impôts, les rues toujours en mauvais état, l'avenir de la place face à la boulangerie, l'avenir du centre commercial quand le magasin "U" aura déménagé.

Nous ne savons si vous aurez le temps de lui parler, c'est un homme très occupé en ce moment.

Nous vous attendons samedi prochain.

Pour l'heure, regarder la presse ou mieux, revenez nous voir, nous mettrons l'horaire en ligne.



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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 09:16

Pour les nouveaux habitants, il nous semble important de mieux connaître la commune.

 

Pour cela, un peu d’histoire est indispensable.

Mésanger (Mésaunjae en gallo et Mezansker en breton moderne) est une commune française d’environ 4200 habitants, située dans le département de la Loire-Atlantique, dans le Sud-Est de la Bretagne et la région administrative Pays de la Loire.

Les habitants de la commune se nomment les Mesangéens et Mesangéennes.

Les habitations sont réparties entre le bourg ainsi qu’une quinzaine de gros villages et cent huit villages et hameaux

 

Si Mésanger évoque un nom d'oiseau, son nom pourrait provenir de l'ancien français "mesean" qui signifie  lépreux.

Etymologiquement, "Mésangé" signifierait  "Pays des lépreux". La présence de lépreux à l'époque du Moyen Âge – sur un territoire bien plus grand qu'actuellement – est certaine.

 

Histoire

D'après Histoire de Mésanger de 1983

Héraldique


Les armoiries de la ville de Mésanger furent autrefois celles de la famille noble « de Mésangé ».

Description : D’argent à trois merlettes de sable.

Epoque gallo-romaine

En l’an 55 av. JC, les romains envahissent l’Armorique. Il existe des traces d’exploitation des carrières de calcaires, datant de cette époque, à la limite de Mésanger. Plusieurs voies romaines ont traversé le territoire actuel de la commune :

  • L’une passait à Tacon pour rejoindre une autre voie au niveau de la Chapelle-Rigaud.
  • Une autre allait très certainement de Saint-Géréon à Mésanger. Sa découverte a eu lieu en Mai 1966, où de nombreux pavés ont été déterrés lors de la création des fossés sur la route d’Ancenis, près du bois de la Guère.

Epoque féodale

C’est à cette époque que le vieux bourg de Mésangé serait apparu. Les vilains auraient construit leurs habitations à proximité du donjon voisin de la demeure féodale de la Cour des Bois. Le donjon présentait de larges douves alimentées par le Beusse.

 

Anciens seigneurs

Le plus ancien seigneur attesté est un certain Gestin de Mésangé (fin XIe siècle).

Mésangé fut l’une des plus anciennes seigneuries de Bretagne puisqu’elle est datée dans les familles de chevalerie dès le XIe siècle.

La famille de Chateaugiron dite de Malestroit, habitat le Château de La Cour des Bois du XIVe siècle au XVIIe siècle.

Jean de Malestroit, né à Mésangé vers le milieu du XIVe siècle deviendra évêque de Saint-Brieuc en 1404 puis exécuteur testamentaire du cométable Olivier de Clisson. Peu après, il se rallie aux Montfort et devient Trésorier Général de Bretagne. En 1419, il est nommé évêque de Nantes.

La seigneurie de Mésangé est ensuite transmise aux Coëtquen – une puissante famille bretonne au vu de ses nombreuses seigneuries – en 1519 suite au mariage de Françoise de Malestroit avec François de Coëtquen. Le dernier héritier de Malestroit, Jacques de Malestroit, est mort en bas âge. La fille, Gillonne de Coëtquen, épouse Estienne du Halley en 1576. Nouveau nom dans la seigneurie de Mésangé. Il s’éteignit très vite : Gillonne de Coëtquen meurt le 10 janvier 1626, puis sa fille, Rennée du Halley, meurt elle aussi le 6 avril de la même année.

Jacques de Raoul, seigneur de la Guibourgère acheta la seigneurie de Mésangé entre 1626 et 1631. Les derniers seigneurs de Mésangé furent Louis-François camus de Pontcarré et Louis-jean camus de la Guibourgère. Le premier émigra pendant la révolution, l’autre périt sur l’échafaud le 20 avril 1794.

La juridiction s’étendait sur d’autres seigneuries de Mésangé, particulièrement nombreuses : la Quétraye, la Rigaudière, le Pas Nantais, la Hardière, les Salles, la Roche.

La Révolution française

A l'époque de la Révolution, les nobles n’avaient plus une grande autorité sur Mésangé. La fin des privilèges de la noblesse fut donc accueillie naturellement par les habitants.

En revanche, en 1793, dans un climat déjà tendu, la nouvelle loi sur la conscription et ses tirages au sort provoqua la fronde. Environ 6000 paysans se réunirent à Mésangé le 12 mars 1793, pour faire front aux patriotes de la Garde nationale. C’est le début des années de terreur et d’affrontements sanglants entre Chouans et Républicains (voir Chouannerie). A la fin du XVIIIe siècle, les conseillés municipaux font l'objet de menaces, le conseillé Julien Macé sera assassiné le 11 juin 1799. Il est fort possible que Mésangé soit restée sans administration claire durant cette période de troubles.

Le 16 août 1797, Mésangé est rattachée au canton d'Ancenis – La commune faisait partie du canton de Ligné – suite à la demande de celle-ci.

La Deuxième Guerre mondiale

L’occupation allemande

Les allemands entrent pour la première fois à Mésanger le 19 juin 1940 en fin de matinée. L’église est alors réquisitionnée pour y installer des prisonniers. Les troupes allemandes occupèrent aussi le château de la Quêtraye en prenant bien soin de vandaliser le mobilier au passage.

La kommandantur s’installa à l’école communale.

La Résistance

Le 5 août 1944, les FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) libèrent Ancenis dont ils prennent d’assaut la caserne Rohan. Plusieurs familles de Mésanger y furent mêlées, soit parce qu’un membre a directement participé ou bien parce qu’elles ont hébergé des résistants. Plusieurs réunions organisées par des responsables de la résistance ont eu lieu dans le bourg ainsi qu’en ras-campagne.

Les premières voitures américaines sont arrivées le 5 août 1944, en plein midi, peu après le départ précipité des derniers allemands.

Les troupes américaines sont restées trois semaines avant de repartir.

Mésangé ou Mésanger ?

Mésangé s’est écrit ainsi jusqu’au 19 juin 1949, date où cette orthographe apparaît pour la dernière fois. Depuis on retrouve l’orthographe actuelle.

 

Toutes ces informations sont issues du site www.Wikipédia.fr .

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à le visiter.

 

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 13:15
Durant la campagne électorale, le candidat J.Y Clouet avait assuré qu'il était à la tête d'une liste apolitique, c'est à dire ne représentant aucun parti politique.

Il nous a accusé nous d'être de "gauche", donc politisés, un gros mot dans sa bouche.
Rappelons quand même qu'il y a une grande différence entre une tendance "gauche, droite..." et un parti, "MODEM, UMP..." d'après-vous quelle liste était politique ?

La grande majorité des personnes sur la liste sont surement apolitique, mais pas la tête.

Quelle surprise, nous venons d'apprendre qu'il avait sa carte au MODEM ainsi que Odile de Meezemaker.
La liste des élus démocrates date de mars 2008, c'est à dire qu'ils étaient déjà adhérents au moment de la campagne pour les élections municipales.

Pour confirmation www.modem44.com/article-16191031.html


Les candidats Clouet et de Meezmaker ont-ils mentis aux mésangéens et peut-être à leurs colistiers ?
Auraient-
ils oublié de prévenir les personnes qui se sont engagées en leurs faisant confiance ?  Nous ne pouvons y croire, ou alors, étaient-elles informées et ont-elles laissé affirmer un mensonge ?
La question mérite une réponse pour l'avenir du groupe de la "majorité" au Conseil municipal.


Nous comprenons que le candidat Clouet avait besoin de l'appui de J.M Tobie, lui-même adhérent au MODEM, et qu'il en a encore besoin pour gérer la commune. Malgré cela vous constatez que les résultats ne sont pas là.

Pouvons-nous continuer à leur faire confiance ?


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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 17:49

Nous les sommes les champions. Grâce au maire et à son équipe, la commune de Mésanger est la championne de l'augmentation des taux des impôts.
Aucune commune de la COMPA n'a réussi à atteindre les 9 %. Nous pensons qu'il faut en être fier. Nous allons en faire des jaloux.
Cette augmentation va servir, entre autre, à construire un rond-point et un aménagement d'une petite rue (rue du Talon). 
L'augmentation rapporte 116 000 € et les travaux sont prévus pour 300 000 €.
Ne cherchez pas il n'y a pas de rapport, d'après le maire. Jugez par vous même.
Bref, les autres communes ont réfléchies à la portée de leurs décisions. Toutes ont eu une pensée pour les familles touchées par la crise, pour les familles dont un ou les deux parents rencontrent des problèmes d'emploi et toutes les contraintes qui vont avec (santé, loisirs, éducation, ...).
Comme l'abattement de la taxe d'habitation pour les quotients familiaux les plus faibles n'existe pas à Mésanger et que la majorité à en projet de supprimer l'exonération de la taxe foncière pour les nouveaux habitants, nous allons vraiment être les champions des impôts.

En même temps, Ancenis fait passer l'abattement de la taxe d'habitation de 5% à 15%.

Rappelez-vous, l'audit effectué en début de mandat et payé 14 000 € préconisait une augmentation des impôts de 10% et le gel des investissements.
Nous avons les deux, l'augmentation et l'investissement. Monsieur le maire ne prend que ce qui l'intéresse.



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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 21:20

Depuis la campagne électorale de 2008, le candidat Clouet devenu maire a agité les peurs quand au "réseau d'alerte financière de la préfecture".

La commune de Mésanger figure dans ce fameux réseau depuis quelques années. Depuis la construction du périscolaire et de la bibliothèque. L'Etat, représenté par les services de la préfecture, sait très bien que des investissements de cette importance ne peuvent se financer sans emprunts et pèsent lourd sur les finances communales.

De nombreuses communes sont placées dans ce réseau d'alerte et y figurer n'est absolument pas synonyme de mise "sous tutelle". Il semble tout à fait logique que l'Etat ait mis en place ce dispositif pour mieux assister les communes.

Comment expliquer sinon qu'on ait accordé fin 2008, le prêt de 2 millions d'Euros pour l'école publique, alors que d'après la municipalité, la commune était dans le rouge foncé et que la capacité d'endettement nous aurait "ruiné"pour des années.

Décidément, si la majorité maîtrise parfaitement un art, c'est celui de berner les Mésangéens.

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 13:28

La maison Perrot-Duvernay devait être vendue depuis plusieurs mois (promesse du maire lors de chaque conseils municipaux). A ce jour elle est toujours dans le patrimoine communal.

Lors du conseil du 26/03/09, nous avons voté l'autorisation de signer le compromis de vente avec, soit M. Bry soit un autre acquéreur (lequel ?),  pour environ 6 000 m2, faisant pour moitié, partie de la propriété. Comme la surface de la propriété entière est d'environ 10 000 M2, que la maison est mise en vente avec 4 000 ou 5 000 M2, suivant la délibération ou l'annonce de l'agence immobilière, il reste très peu d'espace pour le jardin public.

Ce jardin public, idée que nous soutenons fortement, devait relier l'allée des chênes et la rue de Vieille cour sur une surface de 3 000 M2. Il aurait permis de redonner un centre de vie au centre bourg. Il aurait permis une aire de détente et de jeux pour les jeunes de la commune et de promenade et repos pour les aînés. Situé à côté du nouvel espace commercial, il devait favoriser les rencontres entre habitants. Malheureusement, la surface diminuant régulièrement au gré des décisions du maire, nous sommes très inquiet de son devenir.

Monsieur le maire, lors de la campagne électoral avait promis de revitaliser le centre bourg. Cela nous semble mal parti.

 

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 17:30

En complément de notre article paru dans le journal N° 6 :

Le bail à réhabilitation permet de remettre en état des immeubles privés souvent anciens et laissés vacants et de les louer, à usage d'habitation, à des personnes défavorisées.
Il s'applique exclusivement à l'habitation et exclu les commerces, bureaux et activités, ainsi que les résidences de tourisme et les résidences secondaires.


    Les conditions du bail

Le bailleur doit conclure le bail avec des collectivités locales ou des organismes sociaux et le preneur doit signer une convention avec le Préfet.
Le bail est conclu pour une durée minimale de douze ans. Cette durée ne peut se prolonger par tacite reconduction. Dans ce cas, un avenant au bail initial est nécessaire.

 

   Les obligations du preneur

Vis-à-vis du bailleur, il est tenu de réaliser les travaux d'amélioration prévus dans le bail et les travaux d'entretien courant et de réparation de l'immeuble. Il doit également payer le prix du bail s'il en a été convenu ainsi.
Vis-à-vis de l'Etat, il doit conclure avec le préfet une convention dont la durée est identique à celle du bail à réhabilitation et louer l'immeuble aux personnes dont les revenus n'excèdent pas les plafonds de ressources.
Vis-à-vis des locataires, il doit passer des contrats de location conformes aux textes officiels applicables aux logements conventionnés.

 

    Le cadre juridique des travaux

Les travaux sont fixés dans le contrat de bail à réhabilitation. Ils sont décrits et estimés au moyen de devis descriptifs et de plans précisant les normes et caractéristiques techniques, le genre et la qualité des matériaux.
Ces pièces sont signées par les parties et annexées au bail. Le contrat de bail à réhabilitation confère au preneur le droit d'effectuer l'ensemble des formalités administratives éventuellement nécessaires à l'exécution des travaux (demande de permis de construire, déclaration préalable de travaux, obtention du certificat de conformité). Le délai d'exécution des travaux est déterminé dans le bail. Ce délai est, en général, assez court, compte tenu des engagements du preneur dans le cadre de la convention passée avec l'État.

 

   Que se passe-t-il en fin de bail ?

En fin de bail, les améliorations bénéficient au bailleur sans indemnisation. Six mois avant la date d'expiration du bail, le bailleur peut proposer aux occupants un contrat de location prenant effet à cette date. À défaut, le preneur est tenu, au plus tard trois mois avant l'expiration du bail, d'offrir aux occupants un logement correspondant à leurs besoins et à leurs possibilités.

 

Notre commentaire :

Nous ne sommes pas contre cette solution même si nous préférons que ce soit la commune qui gère les locations. Mais nous sommes très réservé sur la destination que M le Maire veut donner au bâtiment.

En effet, au lieu de faire du Presbytère une résidence de "haut de gamme" pour personnes âgées, nous pensons que créer des logements pour jeunes couples, commençant dans la vie avec des moyens financiers restreint, et souhaitant s'installer au bourg, seraient  un bon investissement pour l'avenir.

Une politique de logements qui générerait des ressources nouvelles à moyen et long terme et ce sans surcoût pour le budget communal. L'avenir de la commune passe par l'installation de jeunes couples pour les écoles, les commerces, la vie associative.

 

Rappelons que M. le Maire, alors adjoint aux Sports et à la Culture, avait voté l'autorisation, au Maire de l'époque, de signer le compromis de vente du Presbytère lors du Conseil municipal du 03 mai 2007. Vote obtenu à l'unanimité du Conseil, c'est à dire  J.Y Clouet, M. Haie, P. Maulny.

Certaines décisions ne doivent pas être oubliées. 

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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 12:15

Quel étonnement ce matin en lisant le journal, une photo des agents du trésor public d'Ancenis en grève devant la Trésorerie. Perdu au milieu, le maire de Mésanger, si, si le nôtre,  venu les soutenir.  Nous ne pouvons qu'approuver cette initiative, face au démantellement des services publics organisé par l'Etat. Nous aurions souhaités le voir également dans la défense du bureau de poste de la commune, qui ne va rester ouvert que le matin. Mais dans ce cas nous ne le voyons ni ne l'entendons. Peut-être parce qu'il n'y a pas de journaliste ?
Une question quand même : comment a-t-il pu se trouver au bon moment au bon endroit ? Quel hasard extraordinaire ?
Un début de réponse : il devait passer par là et il a vu un attroupement. Si vous avez d'autres suggestions nous les attendons.

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  • : Le blog des élus de la minorité municipale de Mésanger.
  • : Outil des élus de Mésanger Citoyens Solidaires, ce blog vous informera sur nos interventions, nos propositions au conseil municipal. C’est aussi un espace d’échange qui vous est dédié. Intervenez, proposez, commentez l’actualité de notre commune. Nous serons plus efficace, plus en phase avec vos préoccupations.
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