Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 décembre 2016 6 31 /12 /décembre /2016 09:17

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2016 4 29 /12 /décembre /2016 10:06
Le maire de Beaumont-du-Gâtinais « Bonnet d'âne » de la démocratie locale

Hugues Moncel a été épinglé par l'Association nationale des élus locaux d'opposition (Aélo) pour des faits remontant au début de la mandature en cours. 

C’est un prix quelque peu particulier qui a été remis début décembre à plusieurs maires de France par l’Association nationale des élus locaux d’opposition (Aélo) : neuf « Bonnet d’âne » ont été décernés « pour les cancres des majorités locales qui, de droite, du centre ou de gauche, traitent leur opposition en bafouant les droits élémentaires ». « Plusieurs maires ont encore sévi contre la démocratie locale en 2014/2016 et ont mérité de se faire épingler pour leurs actes antidémocratiques qui les ont fait condamner par le tribunal administratif et leur donnent droit à un bonnet d’âne, explique l’Aélo dans un communiqué. Neuf maires ont ainsi été « épinglés » pour non-respect du droit d’expression, d’information, entraves à la transparence et autres attitudes antidémocratiques. Le non-respect du droit à la formation des élus pour lequel le ministre de l’Intérieur a réagi favorablement à notre interpellation est aussi à déplorer. »

Une « éviction abusive » en cause

Parmi les neuf élus montrés du doigt où figure notamment le maire (LR) de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), Patrick Balkany, « condamné par le tribunal administratif de Versailles pour non-publication de la tribune de l’opposition dans le journal municipal », on trouve un élu seine-et-marnais. Il s’agit d’Hugues Moncel, maire (DVD) du petit village de Beaumont-du-Gâtinais (1 187 habitants) depuis 2001. L’édile a donc été sacré « Bonnet d’âne » de la démocratie locale par l’Aélo pour la raison suivante : « éviction abusive de l’élu d’opposition Alain Marchand de la commission municipale des finances ».

Contacté pour réagir à cette distinction peu envieuse, Hugues Moncel a livré une explication. « Peu après les dernières municipales de 2014, il a fallu former les différentes commissions municipales, dont celle des finances, détaille-t-il. La tête de liste de l’opposition UMP à l’époque lors des élections, Jean-Marie Louarn, a demandé à faire partie de cette commission à la place d’Alain Marchand, son colistier, qui était déjà en place. Il y avait deux candidats pour un fauteuil, et un vote a été effectué par le conseil municipal pour les départager. C’est Monsieur Louarn qui l’a emporté mais Alain Marchand a contesté la procédure en faisant un recours auprès du tribunal administratif, qui a jugé ce dernier valable. J’ai donc réintégré Monsieur Marchand en commission municipale des finances. »

On ne peut pas faire n’importe quoi

Alain Marchand, lui, n’a pas la même version que le maire de Beaumont-du-Gâtinais. « Au départ, il n’y a eu qu’un seul candidat au sein de l’opposition pour faire partie de la commission municipale des finances, pour un seul siège, et c’était moi, se remémore-t-il. Par la suite, notre tête de liste, Jean-Marie Louarn, a changé de camp et rejoint la majorité. Comme j’étais devenu gênant, Monsieur Louarn a demandé à siéger à ma place dans cette commission, alors qu’il ne faisait plus partie de l’opposition ! Forcément, le maire et ses proches avaient un réel intérêt pour m’écarter, ce qui a été fait après le vote du conseil. Sauf que l’exclusion d’un conseiller municipal d’une commission n’intervient qu’en cas de décès du titulaire, démission ou bien comportement inadéquat comme le manque d’assiduité ou des propos injurieux. Ne remplissant aucune de ces conditions, cette éviction a donc été annulée par le tribunal administratif. »

Et de conclure : « Je ne pensais pas que l’Aélo irait jusqu’au bout en décernant ce « bonnet d’âne » à Hugues Moncel, mais cela prouve une chose : quand on est élu du peuple, on ne peut pas faire n’importe quoi ! »

Partager cet article
Repost0
25 décembre 2016 7 25 /12 /décembre /2016 11:20
Un peu de vérité sur Noël !!!

Si l’on remonte dans l’histoire, on s’aperçoit que la fête de Noël ne mérite ni cet excès d’honneur ni cette indignité. A l’origine, elle n’est pas chrétienne. C’est l’empire romain païen qui a créé la tradition en célébrant au moment du solstice d’hiver (le jour le plus court de l’année) une fête du soleil - «sol invictus» - quand les journées commencent à rallonger, de manière à saluer le retour de la divinité solaire.

Il faut attendre le quatrième siècle (plus de 300 ans après la naissance de Jésus) pour que l’Eglise décide arbitrairement de situer la naissance de Jésus le 25 décembre, alors même qu’on en ignore le jour exact, et même l’année.

Comme souvent, la religion nouvelle se substitue place pour place aux anciennes dans le but de récupérer la tradition à son profit. Au fil des siècles, la commémoration religieuse s’est mélangée à des rites de diverses origines, qui en ont fait une fête familiale au symbolisme plus large que la simple nativité.

L’Eglise préfère d’ailleurs Pâques à un Noël entaché de parasites profanes ou commerciaux, jugeant aussi que la résurrection du Christ est plus édifiante que sa naissance.

Partager cet article
Repost0
24 décembre 2016 6 24 /12 /décembre /2016 11:13
N'oubliez pas de vous inscrire sur les listes électorales.

Si vous connaissez des personnes qui ne sont pas inscrites sur les listes électorales, il est nécessaire de les encourager car chaque voix comptera l'année prochaine.

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2016 7 17 /07 /juillet /2016 19:26
Nice : un grand moment de médiocrité politique

C’est la faute à Hollande. Tout est la faute à Hollande. D’ailleurs, avant Hollande, il n’y avait pas d’attentats.Station Saint-Michel, rue Marboeuf, rue des Rosiers, Orly, Marseille Saint-Charles, Tati, la Corse en 2009, Merah, oubliés ! Et après Hollande, c'est sûr, il n’y en aura plus. (AFP)

Bruno Le Maire va terroriser les terroristes à l’extérieur en doublant les moyens de l'Armée. Jean-François Copé à l’intérieur en créant des unités spéciales. Henri Guaino va installer des canons au milieu des foules pour les protéger. Et tous, de Nicolas Sarkozy (le plus décent hier à Nice) à Alain Juppé, vont en plus baisser la dépense publique entre 80 et 120 milliards.

Tout est la faute à Hollande. D’ailleurs, il n’y a qu’en France que surgissent de pareils drames. Il n’y en a jamais eu dans une vingtaine de villes dont Bruxelles, Le Caire, Madrid, Londres, Ouagadougou, Bamako ou Bagdad. Cà n’arriverait jamais – merci le FBI – en Floride. C’est totalement inenvisageable dans un pays aussi policier que l’Arabie Saoudite. Dans un Etat aussi militarisé que la Turquie.

François Hollande n’a rien fait. C’est Marine Le Pen qui le dit. Si seulement il était intervenu au Mali, dans tout le Sahel, avec les Alliés en Irak. Si seulement il avait bien voulu décréter l’Etat d’urgence, recruter des policiers et des gendarmes, stopper l’hémorragie des armées, investir dans le numérique. Si seulement il avait eu l’idée de faire voter des lois pour faciliter le renseignement, durcir les peines, enfermer et désintoxiquer les djihadistes…

Redevenons sérieux : François Hollande accumule assez d’échecs pour qu’il ne soit pas nécessaire de lui en attribuer là où il a le mieux réussi.

Il est d’abord assez indécent d’intenter des procès politiques alors que les victimes gisaient encore sur le macadam de la Promenade des Anglais.

Il est assez malvenu de critiquer l’insuffisance de l’effort quand on a soi-même réduit les effectifs de sécurité. De préconiser un développement du renseignement de proximité quand on a soi-même supprimé les RG.

Il n’est pas très crédible de préconiser une relance de l’effort militaire quand on a soi-même adopté une loi de programmation qui prévoyait 82 000 hommes de moins en dix ans.

Il n’est pas très convaincant de déplorer les failles du renseignement, aussi réelles soient-elles, ou de verser des larmes de compassion quand on a soi-même, à gauche surtout, voté contre les lois Cazeneuve et Urvoas, contre la reconduction de l’état d’urgence, sous le prétexte qu’ils sont liberticides.

Il est assez dérisoire d’assister à ces surenchères alors que la question est peut-être tout simplement de savoir comment empêcher un individu, dont le comportement relève au départ de la psychiatrie, de commettre le pire. Comment empêcher un camion ou tout autre engin puissant de violer une zone piétonne, de foncer sur une foule.

Les nécessités d’une campagne électorale, l’empressement à licencier François Hollande, ne justifient pas cette nullité politique. Pour deux raisons principales.

  1. Le discrédit de la politique tenant largement à l’incapacité de tenir les promesses, mieux vaut ne promettre que ce que l’on peut tenir, que ce qui est applicable. Il y a tant à faire en matière de police de proximité, de refonte des services de renseignement, de renforcement de la justice et des prisons, il y a tant de préconisations dans la rapport parlementaire qui vient d’être remis, que ça devrait suffire au bonheur des candidats et du gouvernement
  2. S’affaiblir en se divisant, c’est exactement tomber dans le jeu des terroristes. Que le chauffeur tunisien du camion niçois soit ou non un djihadiste, qu’il soit ou non téléguidé ou inspiré par Daech, ce qui n’est pas démontré, Daech a gagné puisque nous nous affaiblissons en nous disputant sur la manière de le combattre. En pénétrant ainsi nos esprits, Daech gagne contre la démocratie.

Il y a ainsi quelques sujets lourds qui appellent de la décence, du calme et du travail en commun. Protéger les Français n’est pas un objectif de droite ou de gauche. La question n’est pas de savoir comment on ferait à la place de François Hollande ou, demain, d’un autre. La question est de savoir comment on se protège mieux, ensemble, aujourd'hui.

Par Michel URVOY

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2016 5 15 /07 /juillet /2016 11:41
Dessin de Plantu

Dans le Monde à paraître, un dessin comme d'habitude résumant l'horreur en quelques traits!

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2016 5 15 /07 /juillet /2016 11:27
Une pensée très forte pour touts les familles !!!

Nous condamnons vivement cet acte criminel et témoignons aux Niçoises et Niçois, aux Françaises et Français de notre total soutien et de notre indéfectible fraternité dans cette terrible épreuve humaine. Une pensée toute particulière aux familles et proches touchés pas cette ignoble tragédie.

Partager cet article
Repost0
17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 15:23
Les nouveaux compteurs EDF ne font pas l'unanimité !

ERDF attaque en justice une commune qui s'oppose à son compteur Linky

Le gestionnaire du réseau français de distribution d'électricité ... Le gestionnaire du réseau français de distribution d'électricité ERDF a annoncé vendredi avoir déposé un recours devant le tribunal administratif de Melun pour contester une délibération de la commune de Varennes-sur-Seine (Seine-et-Marne) interdisant le déploiement du compteur communiquant Linky. «C'est très exceptionnel qu'on fasse ça. Il y a une vraie rupture de dialogue avec le maire qui attaque publiquement l'entreprise et de manière répétée sur ce déploiement» actuellement en cours dans cette localité, a expliqué à l'AFP un porte-parole d'ERDF.

«A Varennes, il y a eu une opposition forte et un empêchement de poser des compteurs», a-t-il ajouté, regrettant aussi que le gestionnaire de réseau n'ait pas été convié à une réunion publique organisée vendredi soir intitulée «ERDF sait et nous ment sciemment». Les élus de Varennes-sur-Seine avaient voté le 17 décembre 2015 contre le déploiement de Linky sur leur territoire, «dans l'attente de résultats plus complets sur les contraintes, dangers et risques liés à l'installation de ces compteurs», selon un document publié sur le site de la commune. Déplorant l'absence d'étude d'impact préalable, «les élus voulaient ainsi faire appliquer le principe de sobriété électromagnétique prôné par la loi», est-il précisé.

Face aux communes réfractaires, ERDF privilégie habituellement «la voie du dialogue sous la forme d'un recours gracieux», consistant à demander par courrier un retrait de la délibération, ou se prévaut de la décision des préfectures, qui invalident «systématiquement» les délibérations interdisant Linky, a expliqué le porte-parole du gestionnaire de réseau. Celles-ci considèrent que «les communes n'ont pas compétence en matière d'énergie parce qu'elles ont délégué cette compétence et que pour déployer son compteur, ERDF s'appuie sur une décision législative nationale qui a une valeur supérieure à une décision municipale», a-t-il précisé, soulignant qu'à Varennes-sur-Seine, il n'avait pas été donné suite à la lettre de la préfecture.

ERDF, filiale d'EDF chargée de la gestion du réseau électrique basse et moyenne tension, a lancé en décembre le déploiement dans tous les foyers français de 35 millions de compteurs Linky, un vaste chantier qui durera six ans. A ce jour, plus de 620.000 compteurs ont été posés, et le déploiement se poursuit au rythme prévu malgré les oppositions, a souligné l'entreprise. Ce compteur «intelligent» permet d'éviter le passage d'un technicien pour relever les compteurs: la consommation est mesurée en temps réel et transmise une fois par jour au fournisseur d'électricité, permettant une facturation plus précise que celle basée sur des estimations. Mais ses détracteurs remettent en cause la réalité de ses bienfaits, notamment les gains espérés en matière de consommation d'électricité. D'autres s'inquiètent des possibles risques pour la santé liés aux ondes électromagnétiques émises par le compteur, ce qu'ERDF conteste. Afin de rassurer la population de Varennes-sur-Seine, l'entreprise a ainsi proposé de permettre «à des laboratoires indépendants de mener des tests d'ondes sur les compteurs déjà posés», a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Quelque 101 communes françaises refusent à ce jour le déploiement de ce type de boîtiers, selon le site internet animé par Stéphane Lhomme, militant écologiste et conseiller municipal de Saint-Macaire (Gironde), commune également opposée à Linky. ERDF a toutefois dit ne pas envisager de poursuites contre elles car le déploiement du compteur y est prévu à une échéance plus lointaine.

Partager cet article
Repost0
12 mai 2016 4 12 /05 /mai /2016 15:31

En France, chaque école affiche la Charte de la laïcité.

Pourtant, en Alsace et en Moselle, des heures d’enseignement religieux sont dispensées en cours élémentaire. Une pratique payée par le contribuable, et qui fait aujourd’hui débat. Si l’enseignement religieux est toujours obligatoire en Alsace et en Moselle, avec des enseignants rémunérés par les deniers publics, une dizaine d'organisations laïques de ces régions lance aujourd'hui un appel pour demander à l'Etat d'appliquer partout les principes constitutionnels de liberté de conscience, de neutralité et d'égalité.

Actuellement, les élèves d'Alsace et de Moselle ont une heure d'enseignement religieux obligatoire par semaine : en cours élémentaire, cela représente un déficit de 180 heures de cours par rapport aux autres enfants. Une seule solution s’offre aux parents qui le refuse : demander une dispense.

Mais pour Claude Hollé, secrétaire général de Laïcité d'Accord, cela s'apparente à du fichage : Quand les parents choisissent l’enseignement religieux, ils doivent faire un choix entre les trois cultes « reconnus » : catholique, protestant ou israelite. Le choix est ainsi inscrit dans un document officiel du rectorat

Balayer devant sa porte

Un principe contraire à la laïcité, que le gouvernement a mis en avant depuis les attentats. Mais qui est en contradiction avec ce qui se passe dans les écoles en Alsace et en Moselle. Il faut d’abord balayer devant sa porte. On ne peut pas réclamer le principe de laicité quand il n’est pas appliqué sur une partie du territoire (Christian Moser, secrétaire régional UNSA-Education) Les organisations demandent que l'enseignement religieux devienne optionnel et qu'il soit désormais dispensé en dehors des heures de l'Education nationale.

Partager cet article
Repost0
6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 14:54
Une ville en autosuffisance alimentaire : Albi !!

Quand la politique fait preuve de volonté, tout est possible.

La preuve à Albi où les élus de la ville viennent de se fixer un objectif aussi concret qu’utile et ambitieux : parvenir à l’auto-suffisance alimentaire de toute la commune à l’horizon 2020 !

Concrètement, cette ville de 51 000 habitants veut réorganiser sa production agricole pour que 100% de ce dont elle a besoin soit disponible dans un rayon de 60km seulement ! Avec à la mise en place de circuits-courts, la ville d’Albi vise trois objectifs : réduire l’impact carbone lié aux transports de marchandise, sécuriser les approvisionnement en cas de crise alimentaire et s’assurer une meilleure qualité des produits consommés !

Mais attention, l’autosuffisance alimentaire ne se décrète pas : elle se construit à force de décisions nouvelles et pragmatiques. Ainsi, la ville d’Albi a déjà préempté 73 ha de friche à deux pas du centre-ville. A mesure qu’elle en deviendra propriétaire, elle les mettra à disposition des nouveaux maraîchers à qui il ne manque qu’une terre pour exprimer le savoir-faire !

Ces terrains seront mis en location pour la modique somme de 70€ par an et par hectare. En échange, leurs exploitants devront juste s’engager à faire du bio et à réserver leur production au marché local. Depuis le début de l’année, 8ha ont déjà été cédés, et 7 emplois créés ! En marge de cette politique d’acquisition de terres agricoles, la ville d’Albi a aussi décidé de donner un coup de pouce aux Incroyables comestibles, ce mouvement révolutionnaire qui encourage la culture et la cueillette de fruits et de légumes bios partout, tout le temps et gratuitement !

Dans cette optique, les espaces verts communaux sont là aussi mis à disposition de tous ceux qui ont des graines à semer. Adieu géraniums, bonjour poireaux ! Et tant pis pour les vieilles habitudes, d’autant que ce qui est bon peut aussi être beau !

Le Figaro rapporte que les habitants n’osent pas encore se servir gratuitement dans ces potagers sauvages encouragés par la mairie. « Ils ont l’impression que c’est du vol ». Il faudra donc un peu de temps pour que la population se réapproprie la terre et ses richesses, mais le mouvement est lancé ! Dernière étape pour parvenir à l’autosuffisance : convaincre la grande distribution de s’approvisionner auprès des producteurs locaux. Et, là aussi, c’est en bon chemin. Il faut dire que les clients consommateurs se détournent de plus en plus des produits venus de loin. Les grandes surfaces n’ont donc plus d’autre choix que de s’adapter !

Ne manger que des aliments sains, bons et produits par ses voisins : l’auto-suffisance alimentaire, c’est ça ! Aujourd’hui, l’idée ressemble encore à une utopie. Mais demain, si les consommateurs et les politiques se donnent la main comme à Albi, alors ce sera la norme !

Servez-vous !!!

Servez-vous !!!

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog des élus de la minorité municipale de Mésanger.
  • : Outil des élus de Mésanger Citoyens Solidaires, ce blog vous informera sur nos interventions, nos propositions au conseil municipal. C’est aussi un espace d’échange qui vous est dédié. Intervenez, proposez, commentez l’actualité de notre commune. Nous serons plus efficace, plus en phase avec vos préoccupations.
  • Contact

Texte Libre

Archives