7 mars 2010
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Arrêtons d'être médisant !
Madame l'adjointe à la Communication a, avec l'aide de ses colistiers, distribué le "Notre ville" que tous les mésangéens attendaient avec impatience. Nous aussi d'ailleurs.
Cette livraison est d'un cru particulier car une question se pose : comment peux-t-on dépenser l'argent des contribuables pour une si pauvre production ?
A part l'édito de M. le Maire qui apporte quelques précisions sur certains sujets (nous y reviendrons dans un autre article), pour le reste, cela ressemble à du "bouche trou" dans la grande majorité.
Nous serions intéressés de savoir s'il existe un marché public d'impression ou une consultation à chaque parution, et combien coûte chaque journal. Une réponse au prochain numéro ?
Mais ne boudons pas notre plaisir de savoir que comme les feuilles d'impôts, le "Notre ville" revient régulièrement dans nos boîtes aux lettres.
Nous savons quelle est la pluviométrie sur la commune, c'est plus important que la santé économique et sociale. Chacun ses priorités.
Madame l'adjointe à la Communication a, avec l'aide de ses colistiers, distribué le "Notre ville" que tous les mésangéens attendaient avec impatience. Nous aussi d'ailleurs.
Cette livraison est d'un cru particulier car une question se pose : comment peux-t-on dépenser l'argent des contribuables pour une si pauvre production ?
A part l'édito de M. le Maire qui apporte quelques précisions sur certains sujets (nous y reviendrons dans un autre article), pour le reste, cela ressemble à du "bouche trou" dans la grande majorité.
Nous serions intéressés de savoir s'il existe un marché public d'impression ou une consultation à chaque parution, et combien coûte chaque journal. Une réponse au prochain numéro ?
Mais ne boudons pas notre plaisir de savoir que comme les feuilles d'impôts, le "Notre ville" revient régulièrement dans nos boîtes aux lettres.
Nous savons quelle est la pluviométrie sur la commune, c'est plus important que la santé économique et sociale. Chacun ses priorités.